Mais qu'en est il d'Ayame ? Et bien elle a été élevé par Anne, une nourrice. Son père n'avait certainement pas le temps ni l'envie de s'occuper d'une morveuse. Il ne lui a donner aucun amour, et ne lui a donner de l'intérêt que... Et bien lorsqu'elle a excellé dans tous les domaines qu'il lui demandait. Ayame a fait l'école au sein de la villa du paternel. On lui a fait étudier les matière générales, mais aussi beaucoup de sport : danse, art martiaux, technique de combats ancestrales au sabre, informatique, comptabilité. Si elle n'était pas la meilleure elle était puni. Elle était régulièrement puni. On ne peut donc pas dire que la relation père-fille soit au beau fixe. Par chance en grandissant, elle a pu prendre de l'indépendance et c'est énormément rapproché des Yakuza. Au final c'est elle qui gère les imports et export de marchandises pour eux, en plus d'être à la tête de trois usine d'assemblement d'arme. Pourtant, quand on approche la japonaise on ne peut pas vraiment se douter de ça. De l'extérieur, Ayame est une femme douce et charmante. Elle sourit, elle est gentille, elle est sociable. Néanmoins dans le "travail", c'est une femme redoutable, avec un caractère bien trempé. Elle beigne dans un univers masculin et a du faire preuve de beaucoup de caractère pour se faire respecter. Elle n'a pas peur d'utiliser de la force pour se faire entendre. C'est une femme avec du pouvoir, et de l'ambition.